Cette femme a été licenciée après 19 ans de bons et loyaux services pour avoir oublié de remettre 20 centimes dans la caisse

par Baptiste

27 Septembre 2020

Cette femme a été licenciée après 19 ans de bons et loyaux services pour avoir oublié de remettre 20 centimes dans la caisse
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Parfois, l'humanité est vraiment capable de faire ressortir le pire au détriment de personnes qui ne le méritent pas vraiment. Pensez aux relations sur le lieu de travail : l'injustice et les harcèlements de la part des responsables peuvent être à l'ordre du jour, ne serait-ce qu'en raison du désir de se défouler sur un employé qui n'a rien fait de mal.

La femme dont nous allons vous parler a été littéralement stupéfaite lorsque la propriétaire de la boulangerie pour laquelle elle travaillait depuis 19 ans l'a licenciée sur le champ. Pourquoi ? Présomption de "vol" de 20 centimes.

via The Telegraph

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Yvonne Hough/Facebook

Yvonne Hough/Facebook

Vous avez bien lu : 20 centimes, quelques sous manquants dans les caisses, et Yvonne Hough, 54 ans, a été licenciée sur le champ. L'employée de la boulangerie Preston avait acheté des goûters pour ses petits-enfants avant de partir, mais elle avait oublié de mettre 20 centimes sur le total qu'elle devait payer en caisse. Ainsi, en apprenant ce "trou", la propriétaire a cru bon de l'accuser de vol et de la renvoyer.

Il n'est pas nécessaire d'être un avocat spécialisé dans le droit du travail pour comprendre l'injustice d'une telle initiative. L'épisode n'était en fait ni intentionnel ni répété, mais un véritable oubli qui peut arriver à tout le monde. Surtout à une employée qui, après presque 20 ans, devrait inspirer confiance. Après un contrôle des caméras de surveillance et un coup de téléphone plutôt acerbe, l'employeuse est arrivée à la solution la plus drastique, laissant Yvonne sur le carreau.

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Pxfuel - foto di archivio

Pxfuel - foto di archivio

La femme, en réponse, a fait un recours contre le licenciement abusif, et le juge a statué en sa faveur. La femme ne pouvait pas être licenciée sur un coup de tête pour une raison aussi futile et sporadique, et le tribunal a condamné la propriétaire du magasin à lui verser plus de 3 200 euros. Au-delà du fait que, heureusement, la justice a triomphé, cela fait vraiment mal de lire des épisodes de ce genre, qui témoignent une fois de plus que, malheureusement, certaines personnes n'apprendront jamais à se comporter de manière juste et équitable.

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