On se moquait d'elle parce qu'elle souffrait d'une forme rare de nanisme : aujourd'hui, elle apprend aux enfants à accepter la diversité

par Baptiste

17 Février 2020

On se moquait d'elle parce qu'elle souffrait d'une forme rare de nanisme : aujourd'hui, elle apprend aux enfants à accepter la diversité
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La vie n'est facile pour personne, même pour ceux qui semblent être nés plus chanceux que d'autres. Nous naissons et mourons tous exactement de la même manière et nous luttons tous contre les injustices que la vie nous présente parfois. Nous sommes tous pareils, mais ceux qui naissent avec une forme de handicap luttent encore plus que d'autres pour trouver leur place dans le monde et être acceptés à 100 %. C'est l'histoire de Megan Grannan, une femme de 26 ans, née avec une forme très rare de nanisme qui la fait ressembler à une fillette de 4 ans. 

via Dailymail

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MEET MEGAN GRANNAN. My name is Megan Grannan! I am 26. I have a rare form dwarfism called Metatropic Dysplasia. My...

Pubblicato da Women Without Borders su Venerdì 2 agosto 2019

Megan est une femme qui n'a jamais grandi physiquement en raison de la grave maladie dont elle souffre : sa poitrine est restée comme celle d'une fillette de 5 ans, tandis que ses membres sont plus longs. Sa vie n'a pas été facile – les médecins ont dit à sa mère que son espérance de vie était très faible et qu'elle ne dépasserait certainement pas l'âge de 5 ans ; de plus, depuis son enfance, elle a dû faire face à des personnes qui la traitaient comme "stupide" et peu attrayante. Les commentaires cruels et les humiliations publiques constantes ont eu un impact encore plus douloureux que sa condition physique en elle-même. Mais aujourd'hui, la femme tient sa revanche et a la force d'en parler au monde entier. Contre toute attente, Megan a non seulement grandi, mais elle a étudié et est devenue une jeune institutrice.

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Twitter / Megan Grannan

Twitter / Megan Grannan

Après avoir obtenu son diplôme universitaire, Megan a décidé qu'elle allait devenir enseignante. Un choix courageux, dans le but de surmonter toutes les barrières et apprendre aux enfants à accepter et à accueillir "la différence". Bien sûr, elle ne se soucie pas que ses élèves soient plus grands qu'elle. 

Megan aurait voulu apprendre beaucoup plus tôt à accepter sa diversité et espère maintenant aider les générations futures. S'accepter soi-même et accepter les autres est le premier pas vers la construction d'un monde plus bienveillant et plus juste.

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