Un ouvrier n'est pas payé à la fin de son travail : il décide de réagir à sa manière (+ VIDÉO)

par Baptiste

10 Octobre 2023

Un ouvrier n'est pas payé à la fin de son travail : il décide de réagir à sa manière (+ VIDÉO)
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Rénover sa maison est souvent nécessaire, mais parfois c'est aussi l'occasion de concrétiser un rêve, de voir un projet sur lequel on a fantasmé prendre vie. Quoi qu'il en soit, cela nécessite certainement de l'argent si l'on souhaite donner un nouveau look à sa propriété.

Les matériaux et la main-d'œuvre ne sont en effet pas gratuits (loin de là), il est donc essentiel de bien gérer les finances et de peser, en fonction de ses moyens, où et comment intervenir. C'est peut-être une évidence, mais la personne qui a commandé les travaux de sa magnifique terrasse dans cette histoire aurait bien fait de s'en souvenir.

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La colère du constructeur

La colère du constructeur

Terasos Ara/Facebook/ Screenshot

Tout a commencé par une idée : une personne a décidé de faire construire une grande terrasse en bois juste à l'extérieur de sa maison. Elle a donc fait appel à une entreprise renommée dans le secteur de la construction, la Terasos Ara, pour réaliser cette structure.

Nous parlons de plusieurs mètres carrés de bois finement travaillé et soigneusement installé sur la propriété du client : le résultat était tout simplement magnifique, un véritable spectacle pour les yeux.

Le coût convenu pour cette beauté était légèrement supérieur à 4 000 euros. Cependant, le client, pour des raisons que nous ne connaissons pas, n'a payé qu'une partie de l'argent qu'il s'était engagé à verser : il manquait près de 1 000 euros. Le constructeur de la terrasse, Deividas Šadis, s'est donc retrouvé dans une situation délicate. Puis, après avoir été ignoré pendant des jours, il a décidé de passer à l'action, furieux, et a saisi sa scie circulaire de travail.

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La réaction du client

KAS BŪNA, KAI NESUMOKA❗️

Pubblicato da Terasos Ara su Martedì 29 agosto 2023

Ainsi, il a fait trois coupes nettes, longues et profondes dans cette structure en bois. Le dommage n'était pas seulement esthétique : les rainures laissées par la lame auraient permis aux intempéries de détériorer facilement cette œuvre.

Après avoir pris connaissance de "l'incident", le client a enfin décidé d'ouvrir une ligne de communication avec Deividas, mais avec trois semaines de retard par rapport à la date limite de paiement. Le non-respect de l'accord convenu coûterait environ 1 600 euros supplémentaires pour les réparations.

Le constructeur a avoué n'avoir jamais fait un geste semblable en près de 10 ans de carrière, et il est maintenant prêt à trouver une solution avec le client défaillant dont la dette s'élève à environ 2 600 euros. Qui sait comment se terminera cette histoire, mais en attendant, nous vous demandons : pensez-vous que le geste entrepris par l'ouvrier est justifiable ?

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